L’Assurance pour les centres de beauté et de bien-être a été négociée par la Confédération nationale de l’esthétique-parfumerie (CNEP). Il s’agit de sécuriser l’activité en tenant compte de l’évolution du métier notamment vis-à-vis des technologies concernant les soins appareillés.

La des Métiers du Bien être et de l’Esthétique

L’esthéticienne est la spécialiste des soins du corps et du visage comme des cosmétiques. Durant cette activité, les risques d’accident sont réels ce qui suscite de posséder une bonne protection. L’objectif est de souscrire à une assurance qui protège :

Les pressions du CNEP sur le gouvernement

Les assurances ont longtemps hésité à couvrir le métier d’esthéticienne car le flou régnant sur la législation en la matière était sans doute trop encombrant. En effet, selon un texte datant de 1962, l’esthéticienne est condamnée à épiler à la « cire » et à la « pince ». En ce sens l’usage de la lampe flash est considéré comme un exercice illégal de la médecine !
Le combat  mené par la CNEP est que cette pratique de dépilation à la lumière pulsée et celle liée aux actes de soins anti-âge et minceur soient autorisées. L’enjeu de la est de couvrir ces pratiques répandues mais toujours maintenues dans l’imprécision législative. Toutefois, la CNEP a négocié avec l’assureur Beazley et le courtier A2P International un contrat visant à couvrir la totalité des actes effectués y compris ceux utilisant les dernières technologies comme la lumière pulsée ou la luminothérapie. Ce contrat  est réservé à ces membres.

Le syndicat patronal insiste toujours sur le retrait de deux projets de décrets portant sur :

La nature de la pro esthéticienne

La souscription à la responsabilité civile professionnelle est suspendue à quelques conditions pour la praticienne qui doit avoir :

Cette police d’assurance couvre l’activité traditionnelle d’une esthéticienne (manucure, modelage, pose de faux cils…) et l’usage d’appareils pour les soins (ultrasons, lumière flash, radiofréquence, luminothérapie…).